Encyclopédie méthodique ou par ordre de matières par une société de gens de lettres, de savants et d’artistes.

Édition revue, dans sa forme et dans sa présentation, de l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert réalisée par le maître-libraire Charles-Joseph Panckoucke, libraire-éditeur officiel de l’Imprimerie royale et de l’Académie royale des sciences de Paris en association avec Clément Plomteux, imprimeur des États, commissaire de la Cité de Liège, sous-maïeur, conseiller intime du prince-évêque François-Charles de Velbrük.

Accueil Vierge à l’Enfant, dite de Ponthoz Vierge à l’Enfant, dite de Ponthoz

La Vierge Marie, en tant que Mère de Dieu, occupe une place très importante dans le culte et l’iconographie catholiques. Dans les évangiles canoniques, son rôle est pourtant modeste et elle disparaît quasi complètement après les récits de l’enfance de Jésus. La légende de la Vierge se formera après le Ve siècle, alimentée par les écrits apocryphes, et la dévotion s’amplifiera durant le Moyen âge.

North and South 1865-2015: armes de la Guerre de Sécession à charger par la culasse

Il y a 150 ans prenait fin la guerre civile américaine, plus connue sans doute sous le nom de « Guerre de Sécession », qui sert en partie de toile de fond à une œuvre célèbre de la littérature d’Outre-Atlantique, Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell (1936).

Livre d’artiste

[Liège] : La nouvelle poupée d’encre : La lettre douce, 1997. Exemplaire n° 10/20. Gravures numérotées et signées insérées chacune dans une farde et correspondant à un extrait du texte typographié. Publié à la IX bienal internacional de arte de vila nova de Cereira, Portugal.  

Paire de pistolets à silex, cal. 14 mm Par Nicolas-Noël BOUTET, Versailles, 1800-1805

Ces armes d’une facture remarquablement soignée sont issus des ateliers de la Manufacture d’armes de Versailles, que dirigeait depuis ses origines le célèbre arquebusier Nicolas-Noël Boutet (1761 – 1833). Ils correspondent aux modèles fabriqués pour les officiers du Consulat et de l’Empire.

La Garde civique

Dès le lendemain de l’indépendance, la Belgique prévoit la constitution d’une garde civique garante de l’indépendance du pays et de la tranquillité publique. Composée de civils non appelés au service et recrutée dans la bourgeoisie, elle est un pilier de l’ordre social et une force politique.