DEUX SABRES BRITANNIQUES DE CHEZ SARGANT AND SON
Découvrez l’histoire fascinante de deux sabres d’infanterie produits par Sargant and Son, fournisseur de la Compagnie Britannique des Indes Orientales (BEIC).
Découvrez l’histoire fascinante de deux sabres d’infanterie produits par Sargant and Son, fournisseur de la Compagnie Britannique des Indes Orientales (BEIC).
Ces deux Calvaires aux instruments de la Passion sont issus des collections du département d’Art religieux et d’Art mosan. Sous globe, le premier expose les instruments du martyr du Christ au-dessus de sa dépouille allongée sur le linceul. En bouteille, le second montre les effigies en papier de la Vierge et de saint Jean au pied du Christ crucifié...
À la suite de l’exposition itinérante « On Fire » qui s’est tenue à la galerie Liehrmann et à l’Opéra royal de Wallonie, la Fondation Liège-Patrimoine a acquis deux œuvres signées d’artistes belges.
Introduit en Europe au milieu du 16e siècle, le tabac importé d’Amérique est utilisé comme plante médicinale alors que ses effets guérisseurs sont déjà mis en doute par certains. Il est consommé selon la pratique indienne, fumé ou mâché, et rapidement méprisé par les classes élitistes. Dès 1626, il est d’ailleurs interdit de consommation dans un lieu public ; sa vente est réservée aux apothicaires. Malgré ces contraintes, inhaler l’herbe broyée devient une activité mondaine, et surtout, la tabatière, une boîte à couvercle richement décorée, se transforme en accessoire de mode.
Le lieutenant Emile Lambiotte a déjà été formé chez les Cyclistes du 10ème régiment de Ligne lorsque ce dernier devient le régiment des Chasseurs ardennais en 1934. Mobilisé en août 1939, il peut assister à Mazy (commune de Gembloux) à la naissance de sa fille en janvier 1940 et ne reverra plus sa famille avant… cinq ans.
Ce modèle de lampe fut notamment fabriqué après 1869 par la firme Gaudard à Morbier, dans le Jura en France, firme toujours existante de nos jours. Cette lampe, qui témoigne des progrès de l’éclairage à pétrole dès la seconde moitié du 19e siècle, était destinée à une clientèle disposant d’une certaine aisance financière.
C’est en 1894 que le célèbre violoniste et compositeur liégeois Eugène Ysaÿe (1858-1931) se fait construire
une maison à Bruxelles avenue Brugmann. À cette occasion, il commande à son ami, l’architecte
Gustave Serrurier-Bovy, un espace de travail entièrement meublé. Cet unique témoignage de la rencontre entre deux artistes renommés de la fin du 19 e siècle est entré dans les collections de la Ville de
Liège par legs des héritiers d’Eugène Ysaÿe.
Ceci n’est pas une saucière ! Malgré son apparence, c’est une tout autre fonctionnalité qui se cache derrière cette pièce en faïence fine ! Il s’agit en effet d’un bourdaloue, un petit pot de chambre portatif “to go” pour dames qui connaît son heure de gloire aux 17e et 18e siècles. Découvrez l'objet du mois d'avril et mai 2024.
Déjà connues du savant et auteur latin Pline l’Ancien au 1er siècle de notre ère, les sources de Spa sont redécouvertes au milieu du 16e siècle par Gilbert Fusch médecin d’origine allemande, actif à la cour de Liège. En 1559, il publie un ouvrage écrit en latin et traduit en plusieurs langues dont le français « Des fontaines acides de la forest d’Ardenne et principalement de celle qui se trouve à Spa ». Découvrez l'objet du mois de mars 2024.
En 1847, le sculpteur est engagé par la fabrique d’église Sainte-Croix pour créer de nouvelles sculptures à intégrer dans l’édifice en cours de restauration. En 1849, il remet un modèle pour l’autel de saint Hubert destiné à être exécuté ultérieurement. Fastueux, le centre devait accueillir, tel un écrin, la statue du saint entourée de reliefs relatant les faits marquants de sa vie.