Portfolio. Photographies Hubert Grooteclaes. Textes Léo Ferré.
« J’aime le flou, je suis myope. Quand je regarde en arrière, tout est flou. Mes photos aussi. Je leur donne ainsi une certaine nostalgie. Je ne supporte pas de faire comme les autres !
« J’aime le flou, je suis myope. Quand je regarde en arrière, tout est flou. Mes photos aussi. Je leur donne ainsi une certaine nostalgie. Je ne supporte pas de faire comme les autres !
La légende du combat de saint Georges et du dragon est bien connue ; elle serait apparue en Orient et en Occident au 11e siècle et a fait l’objet d’un grand nombre de représentations dont certaines comptent parmi les chefs-d’œuvre de l’histoire de l’art ( Uccello, Carpaccio, Raphaël...). Sa tradition est chère au cœur des Montois.
La première guerre mondiale a donné lieu à la confection d’un grand nombre d’objets, souvent d’inspiration patriotique. Ainsi s’est développé « l’artisanat des tranchées » (Trench art) qui couvre les domaines les plus variés.
Ce calice aux lignes épurées a été offert à Albert Charlier à l’occasion de son ordination le 2 juillet 1944, comme l’indique l’inscription sous le pied.
En 2013, la Ville de Liège a fait l’acquisition d’un fusil ayant appartenu au graveur sur armes René Delcour (1930-2012). L’histoire de cette arme n’est pas totalement éclaircie.
C’est en ces termes qu’aurait pu s’exprimer le verrier et designer finlandais Oiva Toikka. L’artiste
éclot en 1931 et dès 1953 s’inscrit à l’École supérieure des arts et du design d’Helsinki.
Jean Cambresier ou l’art de (dé)peindre Liège sur fond de porcelaine : des vues du quai de Maastricht et de la Maison Curtius
La statuette en terre cuite moulée, reconstituée à partir d’une dizaine de fragments, a été recueillie le 3 septembre 1868, lors d’une campagne de fouilles menée par l’Institut archéologique liégeois au lieu-dit « Sur les Minières », à Juslenville.
« Parmi les formes d’expression artistique qui firent la notoriété des ateliers mosans aux 12e et 13e siècles se trouve l’orfèvrerie.